12. Rosa
Rosa Von Braun.
Rosa travaillait à la clinique.
Elle s’occupait de moi lors de mes séances de sismothérapie.
Enfin des électrochocs.
La thérapie par électrochocs réduit la connectivité corticale frontale en cas de désordre dépressif sévère.
Rosa Von Braun.
Rosa travaillait à la clinique.
Elle s’occupait de moi lors de mes séances de sismothérapie.
Enfin des électrochocs.
La thérapie par électrochocs réduit la connectivité corticale frontale en cas de désordre dépressif sévère.
Certains l’ont reçu avec leur dernier achat jeu de rôle, d’autres l’ont découvert sur Facebook, www.facebook.com/OTK.holding/.
Alors pour ceux d’entre vous qui seraient passés au travers, voici la dernière campagne d’OTK. Global healthcare holding.
Le projet passe à un autre stade. Nous commençons à rentrer dans le dur !
Combien de livrets ? Un paravent ? Etc. Une foule d’interrogations !
Égrégore prend de l’ampleur.
Après quelques vidéos dont une inédite et à venir bientôt, voici que l’illustration sonore vient enrichir son univers.
Ce morceau sobre et élégant, nommé Solipsis, offre une ambiance ténue et sur le fil.
« Notre esprit, une pauvre petite flamme retenue par un corps de suif. »
Jules renard
Un chat alangui sur le bureau. Une cigarette encore chaude sur le bord du cendrier. Un morceau lancinant et étrange vient emplir l’atmosphère de nappes féériques. Je griffonne sur une feuille de papier ces quelques notes à propos des musiques qui ont baigné l’écriture d’Égrégore.
La machine est lancée.
Je suis LA machine.
Les 10 fichiers Word sont partis chez Sébastien des XII Singes…
Rosa.
Est-ce que mon chemin se termine ici ?
Est-ce que je meure ce soir ?
Dès les premiers jours de l’existence de l’IRC en 1989, j’inventais le premier Jeu de Rôles distant multi-joueurs en mode texte. Je fus le premier européen connecté avec un navigateur Web en 1992, je visitais alors le premier site internet spécialisé dans le JdR que j’avais moi-même développé et mis en ligne.
Un vaste pont, qui s’étire à perte de vue. Un ciel sombre, d’un rouge fuligineux parsemé de nuages noirs. Il s’étend partout, dans toutes les directions, comme s’il résumait à lui seul l’univers tout entier. Ni soleil, ni océan, ni terre. Rien d’autre que le ciel, les nuages et le pont tendu dans le vide. Le bruit de vos pas sur le métal résonne dans un silence absolu. L’air immobile autour de vous sent la rouille, la pluie et autre chose d’indéfinissable.